David Kersan, Juillet 2001

Aucun homme ne serait allé sur la Lune, la NASA aurait fait le pas de trop,

le mensonge du siècle.

Analyse, contre-analyse, et les doutes qui accablent.

Houston, 20 juillet 1969, dix mètres au dessous des montagnes de l'ARIZONA, dans un hangar secret de la NASA, des techniciens éreintés goûtent enfin une cigarette bien méritée et éteignent un à un les projecteurs. Neill Armstrong et Buzz Aldrin se dirigent vers la salle des douches tandis qu'une autre équipe se met en place pour préparer la prochaine séquence, en installant les derniers objets du décor de roches et de cendres poudreuses pour la prochaine retransmission télévisée depuis la Lune, où Armstrong devra déclarer d'une voix claire la phrase qu'il répète depuis plusieurs semaine, "C'est un petit pas pour l'homme, un bond de géant pour l'Humanité".

Telle est cette vérité que beaucoup veulent aujourd'hui démontrer : la NASA n'aurait jamais déposé le pied d'un homme sur la lune. Pire, elle aurait monté des photos pour nous en persuader : telle est l'analyse de Philippe Lheureux, premier détracteur français de la mission de la NASA, sur la réalité de la mission APOLLO et ses voyages lunaires. "Je ne dis pas que les Américains ne sont jamais allés sur la Lune, mais qu'ils n'ont pas diffusé les vrais photos, gratuitement, au monde entier. Auraient-ils divulgué si facilement aux Russes des renseignements aussi importants alors qu'ilsne leur ont pas donné un seul gramme d'échantillons de roche lunaire sur les 382 kg rapportés ?"

Nous pouvons nous interoger sur le constat que nous n'ayons, pour un fait historique, que des preuves fournies par la NASA elle-même, autant dire aucune preuve objective. Sans compter que ces images semblent très douteuses : ombres incohérentes, ici et là on croit aperçevoir le reflet d'un projecteur, les astronautes n'ont pas la démarche adaptée en situation lunaire, leur matériel semble bien peu protégé dans un univers si hostile, le même décor sert deux fois pour des images différentes et incohérentes l'une avec l'autre.

Phillipe Lheureux lance une thèse, et des anti thèses affluent...

Chronique et photographies d'un doute désormais historique.

L'empreinte du pied de BUZZ ALDRIN sur la lune

Philippe Lheureux pense pouvoir "obtenir le même genre d'empreinte sur la terre en marchant dans une terre argileuse mais sûrement pas sur la Lune ou alors scoop du siècle , il y a de l'eau sous forme liquide et une pression atmosphérique sur la lune pour maintenir la cohésion des grains ! Regardez bien , les rainures de la semelle sont parfaitement visibles et restent en forme une fois le pied retiré. Le sol autour de l'empreinte n'a pourtant pas vraiment l'air d'être fait de poussieres aussi fines que de la farine. Certaines rainures disloquées ne se sont même pas effondrées comme on aurait pu s'y attendre si elles avaient été constituées par de la poussière de roche sèche. Regardez bien la dernière rainure en haut de l'empreinte , elle s'est brisée et elle est retombée sur l'autre morceau sans s'effondrer."

"Sur la Lune , il ne peut y avoir d'effet ventouse entre deux grains car le vide est partout. Comment expliquez vous cette étonnante cohésion de la matière dans les rainures laissées par la semelle de Buzz Aldrin ?

Et que penser de la profondeur de l'empreinte car sur la lune, un astronaute ne pèse qu'un sixième de son poids terrestre.

Moi qui m'attendait à une empreinte de même nature que celle que l'on peut laisser dans de la poussière de roche sèche ... je dois dire que je trouve cette photo pour le moins surprenante. Elle est en parfaite contradiction avec ce qu'on connait pour l'instant du sol de la lune ( absence d'eau et vide ) et cela ne semble pas choquer grand monde."

Contre analyse :

En réalité, cette empreinte a été réalisée avec précaution par Buzz Aldrin à des fins scientifiques. Par ailleurs, la finesse de cette poussière lunaire (avec des grains en moyenne inférieurs à 100 micromètres) lui assure une bonne cohésion. L'aspect de la croûte est dû au fait que rien ne bouge sur la Lune, que rien ne vient ébranler cette couche de poussière, tassée par le temps et brûlée par les rayons cosmiques.

Le contre jour idéal

Philippe Lheureux déclare que "L'astronaute est éclairé en contre jour et les moindres détails de sa combinaison sont parfaitements visibles ?

Le problème c'est que dans le matériel photo des astronautes , il n'y avait pas de flash pour déboucher les ombres ( effet de FILL IN ) .. d'ailleurs s'il y avait eu un coup de flash , il se serait reflété dans la visière du casque car on y voit l'astronaute qui a pris la photo.

Si vous aviez été sur la lune ... auriez vous fait vos photos en contre jour ou avec le soleil dans le dos ? j'aurais pour ma part opté pour la deuxième solution afin de m'assurer un maximum de succès.

J'aimerais bien connaitre le secret de cette prise de vue .... Le paysage lunaire visible en arrière plan étant beaucoup plus sombre que le sol juste derrière l'astronaute. A part une réalisation en studio avec des projecteurs et des réflecteurs je ne vois pas d'autre explication plausible.

Autre chose étonnante , la combinaison spaciale montre de nombreux plis ! Que fait de l'air emprisonné dans un ballon quand la pression extérieure diminue ? Il se dilate et le ballon gonfle ! La combinaison ayant été enfilée en atmosphère préssurisée , l'air contenu à l'intérieur devrait se dilater à cause du vide lunaire et compte tenu de la pression interne , on ne devrait pas voir de plis.

La NASA dit que la combinaison était préssurisée à 0.3 bars pour permettre à l'astronaute de plier les bras . Cette pression interne correspond à celle qu'un alpiniste aurait au sommet de l'éverest et impose des paliers de décompression comme pour la plongée. Quand on connait le temps qu'un alpiniste met à s'acclimater à l'altitude , passer de 1 bar sur terre à 0.3 bars sur la Lune en trois jours laisse rêveur !"


     

Traces de pneus sur la lune

Philippe Lheureux annonce encore "Et voici une belle photo de dos ... Le but était sûrement de nous montrer des traces de pneus alors regardons les de plus près. On dirait que coté permis de conduire ce n'est pas beaucoup plus brillant sauf si le but était d'essayer d'endommager le véhicule lunaire en roulant sur des pierres. Les astronautes seuls sur la lune devaient jouer la carte de la sécurité et limiter leur rayon d'action à 9.5 km autour du LEM , il est étonnant qu'ils s'amusent à essayer de l'endommager sur des pierres.

Les traces de pneus comportent des stries mais après le dernier gros caillou elles deviennent lisses comme si le véhicule avait été tiré à la main. Le rayon de braquage est incroyablement court ... presque à angle droit avec en prime les roues arrières qui passent sur le même chemin que les roues avant...

Regardez aussi le paysage en arrière plan , passé la jeep il s'estompe ! Avec une luminosité pareille et en diaphragmant a f:22 j'aurais sûrement fait mieux.

Ceux d'entre vous qui peuvent avoir la chance de revoir les films montrant le déplacement de ce véhicule sur la lune feraient bien de jeter un coup d'oeil attentif aux projections de sol lunaire derrière les roues. C'est amusant de voir la poussière lunaire se comporter comme du sable et retomber aussi vite que sur terre.

Regardez aussi le gros caillou au premier plan, à droite, il y a un C majuscule écrit dessus."

Une Caméra à découvert

Philippe Lheureux déclare que "La caméra n'est même pas protégée contre la poussière, le vide, le froid (-150°C à l'ombre) la chaleur (+130°C au soleil ) et les radiations X et ultraviolettes. Il ne faut pas oublier qu'en plein soleil la température peut monter à 130°C sur la lune et que celle ci recoit toutes les radiations solaires sans filtre atmosphérique .. donc des rayons X et ultraviolets bien nocifs pour la pellicule. J'ai du mal à croire qu'ils ont truqués toutes les photos de toutes les missions parce qu'il est impossible de photographier correctement sur la lune . Quand on est capable d'y aller ,on doit être en mesure de construire un appareil photo capable de résister aux conditions extrêmes. Quelle pellicule photo peut résister à des écarts de température allant de -150°C à +130°C sans autre protection que le boitier de l'appareil ?

Le contre jour est encore une fois idéal , bien débouché sans flash et encore plus surprenant , si l'on regarde le reflet dans la visière du casque , on aperçoit des ombres qui partent dans deux directions différentes. J'ai beau regarder dehors, je ne vois pas deux soleils.

Encore une fois, l'arrière plan de la photo s'estompe et s'assombrit sans aucune raison valable. Pourquoi le coté de la combinaison est il eclairé par un soleil brillant qui n'éclaire pas le sol derriere l'astronaute ? Et que penser de l'ombre des jambes de l'astronaute visible dans la visière du casque ? Il est éclairé de face et se trouve en face de l'autre qui lui est eclairé de coté...

Dernier point, regardez l'instrument que l'astronaute tient dans sa main, la partie inférieure n'est pas raccordée à la partie supérieure."

Et la lumière à gauche en haut ? Ne voit on pas l'effet de projection de lumière que cela produit ? Un projecteur ?

Contre analyse :

Les appareils photo utilisés depuis 1962 dans les programmes spatiaux Mercury, Gemini et Apollo étaient des Haselblad 500 allégés et peints en noir pour réduire la réflexion lumineuse. D'après Hasselblad, ils avaient été modifiés pour s'adapter aux autres conditions lunaires et diverses lentilles furent testées au fil des missions. Par ailleurs le passage du chaud au froid n'est pas aussi brutal que le pense Philippe Lheureux, et les appareils photo ne sont pas restés suffisamment longtemps exposés aux rayonnements pour que leur mécanique en souffre.

Qaund aux ombres, elles sont normalement déformées par la réflexion sphérique de la visière de l'astronaute. Une expérience réalisée par Bernard Lemoine et Jean-Luc Destombes du laboratoire de physique des lasers de Lille, montre qu'une scène refletée dans une boule de Noël présente les mêmes incohérences des perspectives.

Quand à cette petite sphère blache visible à gauche de l'astronaute, serait ce un projecteur ? Le photographe françois Grenet nie en déclarant que sa forme octogonale indique qu'il s'agit d'un effet courant de diffraction de la lumière. En 1969, les laboratoires n'avaient pas vraiment encore mis au point parfaitement les traitements antireflets".

Les doutes subsistent :

L'expérience des deux scientifiques montre en effet la redirection aléatoire des ombres mais n'explique en aucune manière la présence de deux ombres distinctes derrière l'astronaute présent dans le reflet de la visière. La thèse des doubles projecteurs ne tombe malheureusement pas.


James Irwin - Apollo 15

Philippe Lheureux déclare "sur la partie du LEM qui est en contre jour , le panneau UNITED STATES apparait bien blanc alors qu'il aurait du être dans le noir complet.

La colline qui est derrière le LEM devrait avoir une partie dans l'ombre si l'on en juge par la direction de l'ombre du LEM et de celle de l'astronaute ! Or le versant est completement ensoleillé !

Il est étonnant que la NASA ait choisi cet endroit pour alunir ! J'aurais opté pour une plaine pour plus de sécurité ! que serait il arrivé si le LEM s'était posé sur le versant de la colline ?

Regardez bien le sol lunaire derrière l'astronaute , la limite avec le fond est clairement visible. Que pensez vous justement de tout ce sable lunaire retourné et de couleur plus foncé que celle du fond de la photo ? Ne dirait on pas qu'il fait parti d'un décor de cinéma ?

En ce qui concerne la taille du LEM , la partie supérieure doit contenir 2 astronautes en combinaison plus des réserves d'oxygène , de nourriture , les échantillons prélevés et le carburant necéssaire au retour . Elle me semble un peu petite pour assurer sa fonction de retour . Je serais curieux de voir ce qui se passerait si l'on refaisait les calculs. Quelle est la quantité de carburant nécéssaire pour arracher le LEM de l'attraction lunaire sachant que celle ci fait quand même 1/6 ème de l'attraction terrestre ! Cette quantité de carburant est elle compatible avec la taille du LEM ! Et je ne parle même pas des problêmes d'équilibrage du LEM au décollage .

De toutes les photos que j'ai vu sur le site de la NASA et qui concernent la conquête de la lune , je n'en ai pas trouvé une seule prise avec le soleil dans le dos. Elles sont toutes prises soit en contre jour , soit avec le soleil de coté. Est ce parce que la vraie source lunineuse risquait de se refléter dans le casque de l'astronaute ?"

Photographie prise lors de la mission APOLLO 14 avec le soleil de face ( à cause de l'ombre du LEM ). Mais comment font ils a la NASA pour obtenir des fill in parfaits sans flash ?

Une ligne d'horizon vraiment proche...

Philippe Lheureux "Je veux bien que sur la lune, la ligne d'horizon soit plus proche que sur terre mais à ce point la... Par contre , les ombres convergentes sont normales si l'on en juge par l'étude réalisée par un internaute.Il s'agirait d'un simple effet de perspective."

Contre analyse :

De similaires effets de proximité de l'horizon terrestre peuvent être reproduit en cliché, notamment dans des paysages de plaines, sans hauteurs visibles à l'horizon, en prenant une photo en contrebas d'une légère butte pour avoir l'impression que le sommet de la butte marque la fin de l'horizon.

Mais dans ce cas précis, la butte ou la plaine ont l'air très nettes... sans doute trop.

 

La Terre grosse comme une balle de tennis ?

Philippe Lheureux constate un nouveau trouble : "Vraiment basse sur l'horizon et bien petite cette terre qui devrait faire 3.67 fois le diamètre de la lune vue de la terre ! En incrustation sur le coté gauche, j'ai mis un morceau d'image de la terre prise lors du survol de la lune par le module apollo 11. La photo réelle couvre une grande partie de la lune et la terre est énorme par rapport a celle visible sur la photo prise du sol lunaire. Effet d'optique ou mauvais truquage ?

D'autre part , le sol lunaire est recouvert d'une couche de 5 cm de poussière. Pourquoi cette poussière ne s'est elle pas déposée sur le rocher ?"

Contre analyse :

Réponse du photographe François genet : "Il s'agit simplement d'un effet dû à l'utilisation de deux objectifs différents pour chaque prise de vue. Un grand angle pour l'une et un téléobjectif pour l'autre qui agrandit la Terre, lointaine"

Décollage du LEM d'Apollo 17

Nouvel argument pour Philippe Lheureux : "Cette image video est censée être prise lors du rédécollage du LEM de la mission Apollo 17. Pour ceux qui ont eux la chance de voir le film , c'est la caméra restée sur le véhicule lunaire qui filme la sc ène . Coup de zoom arrière et suivi de l'ascension du LEM presque à la verticale.

Le tout piloté de la terre . Compte tenu du décalage des signaux , c'est un exploit technique .

La mise a feu du moteur entraine tout d'abord une grosse gerbe d'étincelles et puis un petit jet de gaz mais ensuite plus rien , pas de fumée , pas de flamme , le lem grimpe tout seul dans l'espace.

Ce doit être un carburant magique qui brule sans faire de flamme et ne libère qu'un gaz parfaitement transparent !"

Incohérence dans les ombres

Là encore, l'analyse de Lheureux ne trouve pas de contre-analyse.

"Les collines qui sont en arrière plan devraient avoir une ombre portée compte tenu de l'éclairage rasant qui éclaire l'astronaute et son véhicule. On remarque encore comme une ligne de séparation qui passe sous le drapeau et sous l'antenne du véhicule lunaire. Je pense que le fond est un décor et que nous sommes vraiment en présence d'une photo faite en studio.

L'ombre du véhicule semble proportionnellement beaucoup plus courte que celle de l'astronaute et celle du drapeau est perpendiculaire à celle de l'astronaute.

Je suis aussi étonné de constater que des petites croix de cadrage comme celle que l'on voit dans le viseur de certains appareils photo apparaissent sur les photos des astronautes. Normalement sur ce genre de reflex, les lignes de mire sont sur le verre de visée et ne s'impriment pas sur la photo . En admettant que les croix soient dans l'objectif , à quoi cela peut il servir d'imprimer des croix sur le négatif ?"

Détail d'un pied du LEM

Une nouvelle fois, l'analyse de Lheureux ne trouve pas de contre-analyse.

"Le pied du LEM semble ne pas s'enfoncer beaucoup dans la poussière lunaire. Je veux bien que sa surface portante soit plus importante que celle de la semelle d'un astronaute mais quand même , le LEM pèse beaucoup plus lourd qu'un astronaute. Et pourquoi le pied n'a t'il pas laissé de trace de ripage quand le lem est rentré en contact avec le sol lunaire ? La tranchée qui part du pied du lem correspond à la trace laissée par les barres d'ancrage des pieds mais la boursouflure visible le long de cette tranchée a une apparence boueuse.

Certains penseront que c'est normal car le réacteur du LEM a chassé la poussière ... oui mais alors pourquoi voit on des empreintes de pas bien profondes juste à coté ? et pourquoi voit on une sorte de triangle gravé juste devant le pied du lem . Si ce triangle était du à de fines crevasses du sol lunaire , pourquoi est il encore visible après le souffle du réacteur ?

Et que penser de la poussière soulevée par le réacteur du LEM lors de l'alunissage et qui n'est pas venue ternir l'éclat de la feuille d'or qui entoure le patin ? Ah oui j'oubliais , on est en studio donc le réacteur n'a pas été mis en marche..."

Ombres rasantes

L'analyse de Lheureux trouve une contre-analyse, mais floue, laissant place à un doute, irréductible sur ce point.

"Une belle erreur de cadrage faisant apparaitre les sources de lumieres à l'origine des ombres rasantes. Quelqu'un a t'il une autre idée pour justifier ces deux sources lumineuses dans le ciel lunaire ? Ce ne sont quand même pas des OVNIS :-)

Des reflets du soleil dans l'objectif ?.. vous remarquerez la position de l'ombre portée qui montre que la source d'éclairage se trouve bien en face légèrement à droite de l'astronaute et depuis quand le soleil éclaire il la lune comme un spot ?"

Regardez bien la forme des montagnes servant de fond aux deux photos suivantes , ce sont les mêmes . Il sagit de deux photos de la mission Apollo 15 . Numéro AS15-82-11057 et AS15-82-11082.

 

Module lunaire d'Apollo15 sur fond de montagnes

Cratère récent sur fond de montagnes

"Le même fond pour deux photos différentes prise lors de la même mission... où est donc passé le LEM sur la deuxieme photo ? Il est devant le cratère... certes mais alors pourquoi ne voit on pas le cratère sur la photo du LEM ? Surtout un cratère de cette taille et de cette couleur . Je me suis amusé à faire un petit montage entre les deux photos. J'ai superposé les deux montagnes et le résultat parle de lui même. Vous pouvez aussi aller voir le panoramique réalisé par la NASA ( photo S71-43943 ) ou l'on ne trouve nul part trace du cratère récent visible sur la photo ci dessus )"

Voir l'animation flash

Et si l'on rajoute la photo AS15-88-11863.....

on obtient un résultat...

 

où les arrières plans se recoupent parfaitement mais ou les premiers plans sont en totale contradiction les uns avec les autres.

Comment et pourquoi des photos officiellement transmises à la presse par la NASA peuvent elles comporter de telles abbérations?"

Regardez les détails de ce montage ? Vous douter encore ?

 

Contre analyse :

Il ne peut sans doute pas s'agir du même fond, sauf si les cratères ont été déplacés en montage photo :

 

Sachant que les montagnes sont à quelques 4 ou 5 km de distance, il est clair qu'en bougeant de quelques dizaines de mètres au même endroit, l'arrière plan ne se modifie que subtilement. Le cratère sur la deuxième photo se trouve en réalité à la même hauteur que le LEM. le second cliché a été prit à l'intérieur du cratère de 15 mètres de diamètre, en contrebas du terrain ; le Lem invisible est alors à gauche et la ligne de démarcation qui partage la photo marque un simple relief du terrain.

Philippe Lheureux voit dans cette fiction "une propagande politique destinée à drainer des fonds d'armement et à gagner la guerre psychologique vis-à-vis des Russes. Toutes les pierres ont été rapportées par sondes automatiques".

Un simple débarquement sur la Lune est certainement moins coûteux et moins complexe, comme le souligna Sciences et Avenir qui apporta les contre analyses à ses positions réfractaires au postulat de la NASA.

La logique des blocs, des échiquiers stratègiques, ne nous autorise aucunement à accepter le moindre postulat, surtout venant de la part d'un Etat qui tend à imposer son modèle mais somme toute, pouvons nous penser que des photos de films "truqués" réalisés en 1969, avec des techniques et effets spéciaux de l'époque, duperaient encore aujourd'hui les meilleurs des spécialistes?

Laissons conclure, sans pour autant conclure, Kirsten Larson, spécialiste des affaires publiques de la NASA :

"Il existe des preuves physiques irréfutables : engins spéciaux, pierres lunaires, les 18 hommes qui ont mis le pied sur la Lune, ceux chargés de la mission de contrôle, des transmissions télévisées en direct. Tout cela, ajoute t elle, témoigne de la réalité du programme Apollo".

 

David Kersan

Source des contre analyses : Sciences et Avenir, sites internet spécialisés.

 


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